Et si la gratitude devenait votre alliée pour enrichir le quotidien et soutenir votre arrêt du tabac ?
- keyshypnosepnl
- 12 août
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 15 août
Un carnet de gratitude pour renforcer la résilience émotionnelle et consolider l'arrêt du tabac
Dans le rythme effréné du quotidien, entre responsabilités, sollicitations permanentes et imprévus, une forme de fatigue discrète s’installe.
Une insatisfaction latente, faite de « pas assez », de « pas comme prévu », ou encore de « pas comme espéré ». Dans ce climat intérieur, certains automatismes reviennent : grignotages, irritabilité, agitation… ou l’envie irrépressible de fumer, comme un réflexe pour relâcher la pression.
Et si notre esprit commençait à voir autre chose dans le quotidien ?
La gratitude : un entraînement de l’attention
Loin d’être un simple élan spontané réservé aux bons jours, la gratitude s’apprend. Elle se pratique, comme un entraînement doux, mais constant de l’attention à ce qui est vivant, réconfortant, ou simplement suffisant — même dans l’imperfection.
C’est dans cet esprit que le journal de gratitude trouve sa place : un outil simple, accessible, mais aux effets puissants. Il ne nécessite ni inspiration ni longues pages.
Quelques minutes par jour suffisent pour noter trois éléments positifs, aussi ordinaires soient-ils : un rayon de soleil, un sourire d’enfant, un échange chaleureux, un instant de calme.
Et recommencer. Même — et surtout — lorsque l’envie n’est pas là.
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ressentir de la gratitude n’est pas un état passif réservé aux jours où « tout va bien ». C’est une posture active, un entraînement doux et régulier de notre attention à repérer ce qui est juste, vivant, réconfortant ou suffisant… même dans l’imperfection.
« Ce que l’on nourrit… grandit. »
La gratitude : un appui concret dans un parcours de sevrage tabagique
Pour les personnes engagées dans un processus de cessation du tabac, cette pratique devient un véritable soutien. Car la cigarette n’est souvent qu’une réponse rapide à un manque, un vide ou une tension interne.
Apprendre à cultiver la gratitude, c’est :
orienter le regard vers ce qui nourrit, apaise ou donne du sens.
Remodeler les circuits neuronaux liés au bien-être.
Mobiliser la capacité naturelle du cerveau à se réorganiser : la neuroplasticité
En entraînant régulièrement l’attention à repérer ce qui est positif, satisfaisant ou apaisant, de nouvelles connexions neuronales se forment et se renforcent.
Le cerveau, initialement habitué à détecter les manques ou les menaces, développe progressivement de nouveaux circuits associés au calme, à la satisfaction et à la reconnaissance.
Ainsi, la pratique répétée de la gratitude ne modifie pas seulement l’humeur passagère : elle transforme les schémas de pensée et les réponses émotionnelles.
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CABINET KEYS HYPNOSE & PNL, proche Vincennes et Saint-Mandé
